chères bourriettes

Voilà, nous sommes le lundi de Paques, il est 22h moins 5 mn. Et là j'ouvre ma premère boîte de secours des bouriettes, célèbre conserverie de Martel (Lot): la fameuse terrine de canard au magret fumé et à l'eau de vie de prune. La première de mes cinq boîtes ramenées comme des trésors.
L'odeur est à tomber, dès le premier coup d'ouvre boîte. J'ai, pour l'occasion, fait un bon pain d'épeautre. Il faut faire honneur aux savoir faire des frères Beille! Et tout en regardant un reportage pas très gai sur l'archipel des Tuvalu envahi inexorablement par la montée des eaux, je déguste mes rillettes avec délectation. Petit moment d'égoisme...
Disons que je fête ma première visite métroplitaine: Amélie, une de mes anciennes élèves de Langon est venue en famille au fenua. Souvenez vous: la jolie Alice de "Alice au pays des merveilles" joué voici deux ans au collège. Nous avons et allons passer de bons moments ensemble. Cela valait bien une boîte des bouriettes, non?